Le bambou.
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Le bambou.
Les bambous sont des plantes monocotylédones appartenant à la famille des Poaceae. Ils constituent la sous-famille des Bambusoideae qui compte environ 80 genres et plus de 1200 espèces. Ils sont caractérisés par des tiges formées d'un chaume creux lignifié à la croissance très rapide. Les bambous sont présents naturellement sur tous les continents (Amériques, Asie, Afrique et Océanie) à l'exception de l'Europe (bien que certaines espèces puissent y pousser) et de l'Antarctique, et se sont adaptés à de nombreux climats (tropicaux, sub-tropicaux, et tempérés).
Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome.
On peut distinguer généralement deux grand types de système de rhizome. D'une part les rhizomes pachymorphes (πᾰχῠς épais ; μορφή, forme) qui sont courts et épais et qui se rencontrent chez les bambous cespiteux (Bambusa glaucescens, Bambusa vulgaris, Fargesia murielæ, Fargesia nitida) et d'autre part les rhizomes leptomorphes (λεπτός, mince ; μορφή, forme) qui sont longs et minces et qui se rencontrent chez les bambous traçants (Semiarundaria, Sasa, Pleioblastus).
Comme toutes les feuilles de graminées, elle comprend une gaine, le fourreau qui enveloppe le chaume, qui présente à son sommet une ligule et des oreillettes plus ou moins développées, le pétiole assez court, et le limbe très allongé, à nervures parallèles, partie la plus apparente de la feuille.
Il en résulte que la feuille du bambou est clairement découpée, fait assez unique chez les monocotylédones, chez les Poacées. Les bambous ne sont pas des arbres et n'ont pas de branches. Ce que certaines personnes appellent, à tort, une « branche » de bambou est en réalité une feuille de bambou.
La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube creux) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux mêmes divisés en ramuscules.
Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour (vigueur que les Chinois auraient utilisée pour en faire un supplice).
Les chaumes se balancent au vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.
La floraison des bambous présente des caractéristiques particulières, qui ne sont cependant pas toujours vérifiées :
* la floraison n'est pas régulière et souvent espacée de plusieurs dizaines d'années. Le record est détenu par le bambou à tiges noires, dont la dernière floraison remonte à 1920.
* pour une espèce donnée, elle se produit simultanément dans toute une région, voire dans le monde entier, quel que soit l'âge de la plante ;
* les chaumes se dessèchent et meurent après avoir fleuri.
Constatée maintes fois[réf. souhaitée], la simultanéité de floraison n'a pas encore été scientifiquement expliquée. Une des hypothèses serait une mémoire génétique, une information contenue dans l'ADN du bambou et différente selon chaque variété.
Les fleurs, plutôt rares, apparaissent à l'aisselle des feuilles, aussi bien sur des tiges jeunes que sur des tiges âgées. Elles sont groupées en épillets.
La majeure partie des espèces de bambous sont principalement originaires d'Asie et d'Amérique où on les trouve à des altitudes variables, jusqu'à 3000 m dans l'Himalaya. Quelques rares espèces sont spontanées en Afrique continentale et en Océanie. Aucune n'est spontanée en Europe. Leur aire de répartition a connu une forte progression par la culture.
Compte tenu de la floraison aléatoire du bambou, la culture moderne se fait par bouturage d'un morceau de rhizome conservé avec ses racines. Le bambou doit avoir environ quatre ans pour pouvoir être bouturé efficacement. On détache un morceau de trois chaumes consécutifs pour en faire une bouture. Les jeunes plants demandent de l'ombre afin de rafraîchir les racines superficielles et les pousses tendres. Après quelques années le feuillage suffit à apporter l'ombre nécessaire. On plante la motte de rhizomes dans une terre fraîche et humide, bien drainée en hiver. La plantation se fait entre mars et avril après les dernières gelées ou entre août et septembre. La motte est préalablement trempée en faisant attention qu'elle ne se casse pas puis placée dans un sol travaillé mélangé à du terreau. On recouvre enfin de trois bonnes couches de tourbe. Un tuteur peut être utile. Arroser une fois par semaine pendant l'été. Attention, les racines et rhizomes sont envahissants et gênent le reste de la végétation. En début de printemps, il faut couper les tiges inutiles au ras et amender le sol si celui-ci est pauvre.
C'est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30% de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30% d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires.
Dans le cadre d'une utilisation du bambou dans la construction comme matériel écologiquement performant, une équipe hollandaise a comparé l'empreinte écologique de l'acier, du béton, du bois local et exotique, et du bambou -importé du Costa Rica- pour des constructions aux Pays-Bas. C'est celle du bambou qui est la moins importante[1].
Mais il faut souligner également que les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, uniquement à l'échelle locale.
Les turions de toutes les espèces sont comestibles, bien que certains puissent être assez amers. Phyllostachys edulis fait l'objet de cultures industrielles dans ce but. Les jeunes pousses sont cueillies, un peu comme des asperges, dès qu'elles commencent à sortir de terre. La plupart des espèces ne se mangent pas crues à cause de leur amertume. On les fait bouillir ou griller dans leur enveloppe, que l'on enlève ensuite, avant d'émincer le cœur des pousses pour les préparer en salade, en friture ou en sauce. Les pousses de certaines espèces (Sasa) peuvent être grillées au four et dégustées directement.
* Certains bambous sont utilisés en phytothérapie.
* Les graines peuvent être moulues et donnent une farine nutritive.
* Certaines espèces peuvent être cultivées sous forme de pâturages pour le bétail.
* Les pandas géants se nourrissent exclusivement de bambous.
Les bambous sont recherchés comme plantes décoratives pour leur feuillage, qui peut être vert ou panaché de blanc ou de jaune, pour leurs tiges, les chaumes, particulièrement ceux des Phyllostachys, dont les couleurs sont variées : vert, noir, jaune, tacheté, rayé, etc., et pour leur port, de la plante tapissante au bambou de grande taille. Ils sont souvent utilisés en touffes au bord des pièces d'eau ou en haies (Phyllostachys nigra henonis ou Phylostachys nigra boryana). On peut en faire des bonsaïs, notamment Phyllostachys humilis.
Il est possible d'observer de nombreuses espèces de bambous à la Bambouseraie de Prafrance dans le Gard (France).
Avec plus d'un millier d'espèces connues et d'innombrables applications, le bambou conquiert aujourd'hui le marché du textile. Un processus similaire à la transformation de la pâte à papier en rayonne permet de changer des pousses robustes en un tissu soyeux hautement absorbant et antibactérien ou parfumé par adjonction d'additifs. Des boutiques spécialisées, et même certaines chaînes nationales américaines, commercialisent désormais des vêtements et du linge de maison à base de fibre de bambou. Les consommateurs apprécient que ces produits viennent d'une source naturelle renouvelable qui pousse sans nécessiter de nombreux produits synthétiques (ce qui n'est pas le cas malheureusement de sa transformation en viscose, avec de la soude). En 2004, la Chine - premier producteur mondial de bambous - a exporté pour l'équivalent d'un million de dollars de bambous destinés au secteur du textile. En 2006, ce montant a été multiplié par dix !
Fabrication de meubles, parquet, des tuteurs, cannes à pêche, arcs, d'instruments de musique à vent ou à percussion, d'ustensiles divers (vases, pots à tabac, étuis, paniers...).
Fabrication de tissu molleton, éponge, velours utilisés pour la fabrication de couches-lavables (car très absorbant) et autres.
Après avoir essayé des centaines de substances, Thomas Edison imagina, en 1880, d'équiper ses ampoules de filaments de bambou carbonisés. Et l'expérience réussit. La lampe électrique devint une réalité. Elle put être produite en série et commercialisée. Après plus d'un siècle, quelques-unes de ces pièces de musée survivent et s'allument encore grâce aux fils de bambou incandescents.
Constructions légères (cases, pilotis, cloisons, « ponts de singes »...). Simón Vélez est un des architectes leader dans la conception de structure en bambou. Une entreprise française propose des bungalows et des maisons avec un système d'assemblage de panneaux en bambou homologuées aux normes internationales de construction. Soutenue par Oséo (ex Anvar), elle est en train d'homologuer ce système aux eurocodes. Des entreprises et des organismes[2] travaillent sur le développement de structures lamellé-collé en bambou, plus performantes que celles en bois à diamètres égaux.
Jerry de ceux qui ont lu.
Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome.
On peut distinguer généralement deux grand types de système de rhizome. D'une part les rhizomes pachymorphes (πᾰχῠς épais ; μορφή, forme) qui sont courts et épais et qui se rencontrent chez les bambous cespiteux (Bambusa glaucescens, Bambusa vulgaris, Fargesia murielæ, Fargesia nitida) et d'autre part les rhizomes leptomorphes (λεπτός, mince ; μορφή, forme) qui sont longs et minces et qui se rencontrent chez les bambous traçants (Semiarundaria, Sasa, Pleioblastus).
Comme toutes les feuilles de graminées, elle comprend une gaine, le fourreau qui enveloppe le chaume, qui présente à son sommet une ligule et des oreillettes plus ou moins développées, le pétiole assez court, et le limbe très allongé, à nervures parallèles, partie la plus apparente de la feuille.
Il en résulte que la feuille du bambou est clairement découpée, fait assez unique chez les monocotylédones, chez les Poacées. Les bambous ne sont pas des arbres et n'ont pas de branches. Ce que certaines personnes appellent, à tort, une « branche » de bambou est en réalité une feuille de bambou.
La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube creux) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux mêmes divisés en ramuscules.
Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour (vigueur que les Chinois auraient utilisée pour en faire un supplice).
Les chaumes se balancent au vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.
La floraison des bambous présente des caractéristiques particulières, qui ne sont cependant pas toujours vérifiées :
* la floraison n'est pas régulière et souvent espacée de plusieurs dizaines d'années. Le record est détenu par le bambou à tiges noires, dont la dernière floraison remonte à 1920.
* pour une espèce donnée, elle se produit simultanément dans toute une région, voire dans le monde entier, quel que soit l'âge de la plante ;
* les chaumes se dessèchent et meurent après avoir fleuri.
Constatée maintes fois[réf. souhaitée], la simultanéité de floraison n'a pas encore été scientifiquement expliquée. Une des hypothèses serait une mémoire génétique, une information contenue dans l'ADN du bambou et différente selon chaque variété.
Les fleurs, plutôt rares, apparaissent à l'aisselle des feuilles, aussi bien sur des tiges jeunes que sur des tiges âgées. Elles sont groupées en épillets.
La majeure partie des espèces de bambous sont principalement originaires d'Asie et d'Amérique où on les trouve à des altitudes variables, jusqu'à 3000 m dans l'Himalaya. Quelques rares espèces sont spontanées en Afrique continentale et en Océanie. Aucune n'est spontanée en Europe. Leur aire de répartition a connu une forte progression par la culture.
Compte tenu de la floraison aléatoire du bambou, la culture moderne se fait par bouturage d'un morceau de rhizome conservé avec ses racines. Le bambou doit avoir environ quatre ans pour pouvoir être bouturé efficacement. On détache un morceau de trois chaumes consécutifs pour en faire une bouture. Les jeunes plants demandent de l'ombre afin de rafraîchir les racines superficielles et les pousses tendres. Après quelques années le feuillage suffit à apporter l'ombre nécessaire. On plante la motte de rhizomes dans une terre fraîche et humide, bien drainée en hiver. La plantation se fait entre mars et avril après les dernières gelées ou entre août et septembre. La motte est préalablement trempée en faisant attention qu'elle ne se casse pas puis placée dans un sol travaillé mélangé à du terreau. On recouvre enfin de trois bonnes couches de tourbe. Un tuteur peut être utile. Arroser une fois par semaine pendant l'été. Attention, les racines et rhizomes sont envahissants et gênent le reste de la végétation. En début de printemps, il faut couper les tiges inutiles au ras et amender le sol si celui-ci est pauvre.
C'est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30% de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30% d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires.
Dans le cadre d'une utilisation du bambou dans la construction comme matériel écologiquement performant, une équipe hollandaise a comparé l'empreinte écologique de l'acier, du béton, du bois local et exotique, et du bambou -importé du Costa Rica- pour des constructions aux Pays-Bas. C'est celle du bambou qui est la moins importante[1].
Mais il faut souligner également que les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, uniquement à l'échelle locale.
Les turions de toutes les espèces sont comestibles, bien que certains puissent être assez amers. Phyllostachys edulis fait l'objet de cultures industrielles dans ce but. Les jeunes pousses sont cueillies, un peu comme des asperges, dès qu'elles commencent à sortir de terre. La plupart des espèces ne se mangent pas crues à cause de leur amertume. On les fait bouillir ou griller dans leur enveloppe, que l'on enlève ensuite, avant d'émincer le cœur des pousses pour les préparer en salade, en friture ou en sauce. Les pousses de certaines espèces (Sasa) peuvent être grillées au four et dégustées directement.
* Certains bambous sont utilisés en phytothérapie.
* Les graines peuvent être moulues et donnent une farine nutritive.
* Certaines espèces peuvent être cultivées sous forme de pâturages pour le bétail.
* Les pandas géants se nourrissent exclusivement de bambous.
Les bambous sont recherchés comme plantes décoratives pour leur feuillage, qui peut être vert ou panaché de blanc ou de jaune, pour leurs tiges, les chaumes, particulièrement ceux des Phyllostachys, dont les couleurs sont variées : vert, noir, jaune, tacheté, rayé, etc., et pour leur port, de la plante tapissante au bambou de grande taille. Ils sont souvent utilisés en touffes au bord des pièces d'eau ou en haies (Phyllostachys nigra henonis ou Phylostachys nigra boryana). On peut en faire des bonsaïs, notamment Phyllostachys humilis.
Il est possible d'observer de nombreuses espèces de bambous à la Bambouseraie de Prafrance dans le Gard (France).
Avec plus d'un millier d'espèces connues et d'innombrables applications, le bambou conquiert aujourd'hui le marché du textile. Un processus similaire à la transformation de la pâte à papier en rayonne permet de changer des pousses robustes en un tissu soyeux hautement absorbant et antibactérien ou parfumé par adjonction d'additifs. Des boutiques spécialisées, et même certaines chaînes nationales américaines, commercialisent désormais des vêtements et du linge de maison à base de fibre de bambou. Les consommateurs apprécient que ces produits viennent d'une source naturelle renouvelable qui pousse sans nécessiter de nombreux produits synthétiques (ce qui n'est pas le cas malheureusement de sa transformation en viscose, avec de la soude). En 2004, la Chine - premier producteur mondial de bambous - a exporté pour l'équivalent d'un million de dollars de bambous destinés au secteur du textile. En 2006, ce montant a été multiplié par dix !
Fabrication de meubles, parquet, des tuteurs, cannes à pêche, arcs, d'instruments de musique à vent ou à percussion, d'ustensiles divers (vases, pots à tabac, étuis, paniers...).
Fabrication de tissu molleton, éponge, velours utilisés pour la fabrication de couches-lavables (car très absorbant) et autres.
Après avoir essayé des centaines de substances, Thomas Edison imagina, en 1880, d'équiper ses ampoules de filaments de bambou carbonisés. Et l'expérience réussit. La lampe électrique devint une réalité. Elle put être produite en série et commercialisée. Après plus d'un siècle, quelques-unes de ces pièces de musée survivent et s'allument encore grâce aux fils de bambou incandescents.
Constructions légères (cases, pilotis, cloisons, « ponts de singes »...). Simón Vélez est un des architectes leader dans la conception de structure en bambou. Une entreprise française propose des bungalows et des maisons avec un système d'assemblage de panneaux en bambou homologuées aux normes internationales de construction. Soutenue par Oséo (ex Anvar), elle est en train d'homologuer ce système aux eurocodes. Des entreprises et des organismes[2] travaillent sur le développement de structures lamellé-collé en bambou, plus performantes que celles en bois à diamètres égaux.
Jerry de ceux qui ont lu.
Mini Tack- Membres
- Messages : 19
Date d'inscription : 19/02/2011
Age : 27
Localisation : Dans ma camionette. :hap:
Re: Le bambou.
Merci merci. J'ai pas tout copié.
Mini Tack- Membres
- Messages : 19
Date d'inscription : 19/02/2011
Age : 27
Localisation : Dans ma camionette. :hap:
Re: Le bambou.
Merci Minitack pour tout ce que tu nous a apprit
C'est moi qui t'y as fait penser avec mon supplément bambou pour ta pizza?
C'est moi qui t'y as fait penser avec mon supplément bambou pour ta pizza?
fred110- Membres
- Messages : 28
Date d'inscription : 19/02/2011
Age : 29
Localisation : Devant mon ordi :noel:
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